Résumé : Au Mali, malgré les efforts conjoint du gouvernement et les efforts de sensibilisation l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal – OMVS à travers sa composante santé du PGIRE, on constate toujours le recours tardif aux soins des enfants de moins de 5 ans, des femmes enceintes et la non prise des doses adéquates de Sulfadoxine Pyriméthamine (SP) dans le cadre de la prévention et la prise en charge du paludisme dans la zone intervention du PGIRE au Mali. En vue d’identifier les déterminants du recours tardif aux soins des enfants âgés de moins de 5 ans et des femmes enceintes dans ces zones cibles, le PGIRE à travers le Centre National d’Appui à la lutte contre la Maladie (CNAM) a initier cette étude en 2019. Il s’agit d’une étude qualitative dont la collecte des données s’est déroulée les quatre districts sanitaires sélectionnés au hasard dans les régions de Kayes et de Koulikoro, situées, en zone d’intervention du PGIRE au Mali. L’étude a été menée sous forme d’enquêtes, à l’issue desquelles, l’on a conclu que le recours tardif aux soins des enfants de moins de 5 ans et des femmes enceintes dans le cadre de la prévention et la prise en charge du paludisme est une réalité pour toutes les communautés concernées par cette étude. Pour diminuer le retard aux recours aux soins de prévention et de prise en charge du paludisme chez les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes, l’étude des recommandations plusieurs niveaux de la chaine sanitaire.

14134_Etude recours tardif enfants_femmes enceintes_prévention_prise en charge_paludisme _zone PGIRE-Mali_Rapport final