14849

Titre : Analyses des débits de crues et d’étiages dans le bassin versant du fleuve Sénégal en amont du barrage de Manantali
Localisation : CRD-OMVS
Numéro accession : 14849
Collectivité auteur : Laboratoire Pierre PAGNEY –Climat, Eau, Ecosystème et Développement
                                          Université d’Abomey-Calavy
                                          Université Gaston Berger (UGB)
                                          Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD)
                                          Université de Montpellier 2
Titre de la série : Climat et développement
Numéro de la série : N° 15
Ville d’édition : Cotonou, Bénin 
Date d’édition : 2013
Editeur : LACEEDE
Collation : pp. 46-56, bibl., fig., tabl., carte 
ISSN : 1840-5452 
ISBN-10 : 99919-58-64-9
Résumé : Pour atténuer les effets du changement climatique, assurer une meilleure maîtrise des ressources en eaux, et impulser des actions de développement, deux barrages ont été réalisés sur le fleuve Sénégal par l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS). La gestion de ces ouvrages et des ressources en eau nécessite une bonne caractérisation des formes extrêmes des écoulements que constituent les crues et les étiages. Ainsi, cet article a pour objectif d’analyser les débits de crues et d’étiages du Bafing, principal affluent du fleuve Sénégal, en amont du barrage de Manantali. Les données hydrologiques exploitées proviennent de la banque de données de l’OMVS et couvre la période 1954-2005 pour Dakka Saidou et 1962-2005 pour Bafing Makana. La méthodologie utilisée s’article autour des points suivants : (i) constitution d’un échantillon des débits maximums journaliers et calcul des puissances de crue ; (ii) calcul des probabilités de dépassement des débits et des volumes écoulés correspondants ; (iii) enfin, calcul des coefficients de tarissement annuels et des volumes d’eaux correspondants ainsi que leurs probabilités de dépassement. L’analyse des résultats montre que l’évolution des chroniques de débits maximums journaliers est pratiquement calquée sur celle de l’écoulement annuel.
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